Histoire du Goji
Si le Goji semble profiter actuellement d’un effet de mode, son utilisation n’a rien de nouveau. Depuis des millénaires, les asiatiques le consomment pour ses propriétés diverses. Les tibétains en ont fait un des éléments centraux de leur médecine traditionnelle. Ce n’est sûrement pas un hasard, s’il n’est pas rare de croiser des centenaires tibétains, en très bonne santé pour leur âge. Dans la culture locale, le Goji assure un bon équilibre hépatique, une régulation naturelle de la pression artérielle mais aussi des effets sur le mauvais cholestérol, le diabète voire même sur le développement des cancers. Le nom de Goji a été donné par un médecin chercheur en botanique, Bradley Dobos. Ce nom est assez proches des prononciations chinoises et tibétaines désignant la plante. Deux sortes de baies se partagent le succès du Goji : les plus réputées poussent sur les pentes de l’Himalaya dans les montagnes tibétaines tandis que l’autre est très répandue dans les plaines chinoises.
Réputation du Goji et légendes
Les qualificatifs divers et variés fleurissent sans cesse pour qualifier le goji, les superlatifs ne semblent pas assez nombreux tant les petites baies aux propriétés antioxydantes semblent s’affirmer comme une solution miracle. Les américains parlent ainsi de Superfruit quand certains voisins européens parlent du fruit le plus nutritif du monde. Quoi qu’il en soit certains chercheurs estiment que le fuit permettrait de ralentir le vieillissement cellulaire. Si ce constat récent est le résultat de longues années d’étude, les croyances populaires bénéficient d’un charme incomparable. Certaines racontent que grâce au Goji, certains tibétains auraient vécu jusqu’à 250 ans, et en pleine forme ! En Chine, l’on parlait jadis d’un vieil homme qui pouvait marcher si vite que tous croyaient qu’il pouvait voler. Grâce au Goji, ses dents auraient repoussé et que ses cheveux blancs auraient retrouvé la noirceur et la brillance de sa jeunesse.